A grand roman, grande traduction. Logique, non ? Sauf que cela n’est pas toujours le cas. Raison de plus pour signaler l’événement : la nouvelle édition d’un livre dont on n’imagine pas à quel point il a compté pour nombre de lecteurs, et parmi eux, nombre d’écrivains, en Allemagne et ailleurs, le Berlin Alexanderplatz (457 pages, 24,50 euros, Gallimard) d’Alfred Döblin (1878-1957) qui paraît cette semaine en France dans une nouvelle traduction de l’allemand signée Olivier Le Lay (signalée mais pas signée sur la jaquette).